EDITO

QUARTIERS MODE

Une griffe s’épanouit dans l’environnement qui lui sied. Dans un monde virtuel, elle reste identifiée à l’adresse où elle a pris son envol. Prendre pignon sur rue de Sévigné, rue Bonaparte ou rue Saint Honoré est faire étalage d’affinités avec le quartier de son ADN. La mode, à la pointe de la modernité, pérennise l’image culturelle des quartiers historiques. Les barrières sociales et générationnelles tombées, elle intègre cette nouvelle mixité sociologique favorisée dans le partage des cadres urbains d'exception.

TRADUCTION

RECHERCHE

jeudi 11 octobre 2012

MODE ET PATRIMOINE, CRÉATION ET EXCEPTION

TRANOÏ investit le PALAIS BRONGNART


En 1807, Napoléon 1er confie la construction d’un édifice à l’architecte Alexandre Théodore Brongniart. Il souhaite mettre en place un emblème de la puissance économique  française née des triomphes de l’empereur sur les champs de bataille. C’est un édifice à l’effigie du commerce qu’il commande : La Bourse de Paris. L’empereur espère ainsi centraliser l’ensemble des échanges économiques du pays. Inscrit monument historique en 1987, anciennement Bourse de Paris, le Palais Brongniart est devenu un lieu de conférences, congrès, séminaires, réceptions, déjeuners, dîners, cocktails, galas, salons, expositions, événements qu’inspire son architecture prestigieuse. Depuis 2011, il accueille la nouvelle « École européenne des métiers de l’Internet » . Depuis plus de deux siècles, de la Corbeille à Tranoï, le cœur du Palais Brongnart bat intensément au rythme de son époque. La pérennité de la qualité de son architecture pérennise la qualité de ses affectations. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire